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Presquîle de Giens batterie et blockhaus de Giens

Plan des fortifications de Giens en 1881

Giens était relativement bien défendu à cette époque.

Blockhaus de la Pointe du Chevalier

Poste d'observation avec une coupole (manquante) et un poste pour un projecteur.


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Fort de la Pointe de la Salis

Ce fortin, datant probablement de 1890, ne possède aucun moyen de défense, il s'agit probablement d'habitations. Un peu plus vers la côte, perdu dans les broussailles se trouve un aménagement pour recevoir des canons. Composé de 3 bâtiments, il est toujours accessible à pied.
A noter un masque de canon, perdu dans les broussailles se trouve à une dizaine de mètres du fortin.


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La batterie d'Escampo Bariou.

A cet emplacement au XIXème siècle se trouvait un ancien phare à bain d'huile. Le site est réutilisé pendant la seconde guerre mondiale ; aujourd'hui un amas de ruine témoigne des combats.
Escampo Bariou signifie baril renversé.
Sur une ancienne carte postale en noir et blanc, nous pouvons observer l'emplacement du projecteur déjà en place mais surtout les constructions au-dessus.
La photo de droite représente une coupe du puits et de la galerie.


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Batterie de Giens

Photo de la batterie de Giens en 1905;


Il est hélas impossible de la visiter et de disposer de photos puisqu'elle se trouve en zone militaire...


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Batterie italienne

Les casemates italiennes se trouvent au-dessus du port du Niel, sur les hauteurs, sur le chemin des douaniers. L'armement de ces ouvrages militaires, se composait certainement de mitrailleuses et d'armes légères. Des restes de fils barbelés ainsi que des tranchées sont encore visibles dans les broussailles.


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Batterie du Pradeau

L'ouvrage bastionné remonterait au XVIIeme siècle; il défendait la passe entre Porquerolles et Giens.
Sur le plan de la batterie au XIXème siècle, l'emplacement des canons ainsi que leurs trajectoires sont bien définis.


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Batterie de l'Estérel

La construction des ouvrages militaires a commencé au XVIIème siècle et a duré quatre siècles sur ce point particulier de la côte.
La batterie du cap Estérel a vu ses constructions changer au fur et à mesure des  nouveaux armements; les vestiges témoignent plus de la ligne de défense, édifiée par les forces de l'Axe, bien qu'elle intègre les plus anciens vestiges dans son maillage. Depuis la seconde guerre mondiale, les blockhaus sont toujours présents et occupent cette partie de la presqu'île; seule une zone reste interdite au public. Les autres ouvrages militaires se trouvent dans le site du Village Vacances Français (VVF) et sur le sentier du littoral.
Son armement passa de 4 pièces de 36 au XVIIème siècle à 3 canons de 75mm et de 4 canons anti-aérien pendant le conflit de la seconde guerre mondiale.
Plan de la batterie au XIXème siècle. L'emplacement des canons ainsi que leurs trajectoires sont bien définis.


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Batterie de la Badine

L'ouvrage militaire avait pour fonction de protéger la passe entre Porquerolles et Giens. Son armement était composé de pièces de 240 puis 120mm. Sa construction remonterait à 1884.

Voici deux liens pour observer des photos de la batterie en 1905 :
photo 1
photo 2


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Batterie annexe de la Badine

Poste de commandement et d'observation
La batterie annexe de la Badine, créée en 1895, son armement se composait de 4 canons de 95.


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Le blockhaus de la plage de Badine

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Dernière mise à jour : le dimanche 17 septembre 2017



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